que la task force soit avec toi.
Jean-Marc Furlan a également eu du mal à avaler la pilule. « Je constate que les deux premières fautes de Rodrigo et de Mouloungui sont sanctionnées par un carton jaune alors qu'on aurait pu patienter. Pour battre cette équipe, il nous fallait faire un match d'exception. C'est ce que nous étions en train de faire. Avec ces décisions, c'est tout le match qui est détruit. Les joueurs ont un sentiment de colère, de frustration. Quand on est le petit, c'est très compliqué. En plus, on ne peut pas dire que l'Italien (Grosso) a renié ses gènes ou sa race. »
Le président du club de Strasbourg, Philippe Ginestet, a annoncé qu'il allait démissionner de la ''task force'' liée à l'arbitrage créée par la FFF et la LFP. «Je suis furieux de l'arbitrage ce soir à sens unique, c'est inacceptable, a déclaré le dirigeant alsacien après la défaite de son équipe contre Lyon (1-2), arbirtée par M. Ennjimi. A 1-0 pour nous, l'arbitre a brisé l'élan d'une équipe qui joue pour sa survie». Strasbourg a été réduit à dix suite à l'expulsion d'Eric Mouloungui à la 45e minute après un deuxième avertissement.
«On se demande si c'est du football ou du business avec des intérêts économiques à protéger», a ajouté M. Ginestet devant les caméras de Canal+.
«Je n'ai jamais l'habitude de parler des arbitres. Mais, ce soir, j'ai vu un arbitre qui sifflait à sens unique. M. Ennjimi a cédé à la pression du banc lyonnais pour expulser Mouloungui. J'annonce ma démission de la Task Force. J'y siégais avec un esprit d'ouverture. Mais je ne peux plus cautionner ses agissements à l'encontre du Racing. Est-ce du foot ou du business ? Les intérêts économiques me semblent avoir pris le pas sur le sport. Contre Lyon, à onze contre onze, c'était déjà difficile. A douze, cela devenait mission impossible. L'arbitre était lyonnais, ce soir ! Déjà au match aller, nous avions assisté à des décisions suspicieuses. C'est inacceptable de voir cela en L1. J'ai le sentiment que certains préférent voir le Racing en Ligue 2. Mais nous nous battrons jusqu'au bout. Même si nous devons nous battre contre les arbitres. »
D'ordinaire plus mesuré, Jean-Marc Furlan a partagé ce dépit : «Il ne s'agit plus de faits de jeu, mais d'un match qui a été mis à l'envers et détruit». «Les deux premières fautes de Rodrigo et Mouloungui sont bénignes et on peut patienter avant de les sanctionner d'un carton jaune, estime l'ex-entraîneur de Troyes. Après cela change les données du match car un joueur ne joue pas de la même manière quand il est averti. Les joueurs ont fait un bon match, montrant leur courage pour rester en Ligue 1 face à une équipe haut de gamme. Ils ont un sentiment de colère et de frustration. Quand on est petit c'est compliqué, c'est toujours la même histoire: c'est le pot de fer contre le pot de terre. Sur le plan sportif c'est invivable et très douloureux. Mais notre métier est d'avoir la foi. Il reste des matches pour lutter».
Jean-Marc Furlan « C'est une grande frustration. C'est une défaite difficile à supporter. Le match a été faussé par l'expulsion. Lyon n'a pas besoin de ça pour gagner. Cette expulsion, c'est plus qu'un fait de match. Cela modifie le match en lui-même. Auparavant, la faute de Cris sur Mouloungui qui file seul au but n'est pas sanctionnée. A dix, forcément, la situation devenait extrêmement délicate. Mais nous ne sommes pas encore en Ligue 2. Ca reste jouable. Cette défaite ne nous arrange pas mais nous devons lutter jusqu'au bout. Il faut garder la foi et montrer les mêmes valeurs et les mêmes vertus que ce soir. Nous voulions stopper notre série de défaites. Mais, ce soir, nous avons le sentiment de ne pas avoir été battus sur des valeurs sportives. Si la force économique doit à chaque fois l'emporter, tout devient très compliqué. »
Pierre Ducrocq : « Nous avons fait ce qu'il fallait, ce soir. Mais nous ne sommes pas aidés par les arbitres. Hélàs, c'est une habitude. On sait que nous ne pouvons pas compter sur eux. Tout le monde a envie de voir le Racing descendre en L2. Mais nous ne lâcherons pas. Nous allons travailler et nous battre. On espère que la chance va tourner. Si nous réalisons le même genre de prestations que ce soir, nous pouvons continuer à espérer. On a vu, en première période et à onze, que nous pouvions contrer Lyon et être dangereux offensivement. A dix, le match était totalement différent. Les attaquants ont été obligés de descendre. Il faut s'appuyer sur la première mi-temps où nous avons fait jeu égal avec Lyon. Il faut digérer cette défaite. Lundi, nous repartirons au boulot et la révolte prendra le dessus sur la frustration. »
ET ALAIN (PERRIN) dans tout ça??
« C'a été une victoire difficile. Nous nous attendions à une entame de match compliquée pour nous. L'essentiel est d'avoir décroché les trois points. Il fallait faire preuve de lucidité en seconde période. Nous avons su attendre et notre domination a été récompensée. Il faut continuer à engranger des points pour se rapprocher du titre. »
Vous aussi vous vous demandez ce qu'est la TASK FORCE?
est ce un super pouvoir? La task force est -elle plus forte que celle de jedi Luc Skywalker?
après avoir longuement étudié le sujet (voir ci dessus), je suis capable de vous en expliquer les principaux traits
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Une task force est une secte camouflée sous le nom de groupe de travail (ce qui la rend du coup plus intellectuelle aussi). Celle dont parle Philippe Ginestet est celle crée par la FFF (FU FLUX FLAN) et qui a pour but «de faire toute proposition ou recommandation tendant à l'amélioration de l'arbitrage dans les championnats professionnels» (c'est pô moi qui l'ai dit)
Après plusieurs caméras cachés, documents de la CIA subtilisés, espionnage, infiltrations, the pepitoshow est en mesure de vous donner le nom des membres de l'organisation secrète de la TASK FORCE
elle était composée de 12 personnes.
M. Escalettes (FFF) , Thiriez (LFP), Gérard Houllier (DTN), Marc Batta (DTN de l'arbitrage), les présidents de club Frédéric de Saint-Sernin (Rennes) et Philippe Ginestet (Strasbourg), l'ancien joueur Sylvain Kastendeuch, le président du conseil supérieur de l'arbitrage Jean-Louis Piette, Henri Monteil (chargé de mission au conseil fédéral), Pierre Repellini pour représenter les éducateurs, ainsi que deux journalistes, Gérard Ernault (ancien directeur de la rédaction de France Football) et Philippe Doucet (Canal+).
Il ne sont désormais plus que 11 !
Organisation secrète de la TASK FORCE.
Dernière photo prise par la célèbre journaliste Ingrid B, qui suite à son infiltration dans l'organisation a été faite prisonnière en Colombie (il paraîtrait que le siège social se trouverait dans ce pays lointain) après qu'un certain Mark Felt ai balancé sa couverture.
Nous les voyons en train de brûler le corps d'Eric Mouloungui.
La journée type du comité est le suivant
9h00 : réveil
9h30 : petit déjeuner
10h00 : promenade
11h30 : apéritif
12h30 : repas
15h00 : promenade digestive
17h00 : séminaire
17h30 : gouter
18h00 : soirée récréative
19h30 : quartier libre
20h00 : souper
21h00 : rediffusion de la finale de la coupe de la ligue
22h30 : extinction des feux
Lors de la demi heure de séminaires, ces messieurs discutent, approfondissent, creusent, solutionnent sur le sujet que le grand patriarche, le maître de réunion, celui dont personne n'a jamais vu le visage mais que tout le monde redoute, celui qui serait à l'origine des affaires les plus sombres de l'histoire, un homme lui aussi cagoulé appelé par son pseudonyme "Jean Michel A." leur a donner, soit "faire toute proposition ou recommandation tendant à l'amélioration de l'arbitrage dans les championnats professionnels" dans notre cas.
Par exemple cela donne :
JMA - Je déclare ouvert la séance ordinaire de la TASK FORCE. Force Bleu Ciel, répondez !
P. G. - Présent majesté
JMA - Vous aviez une recommandation à nous faire parvenir Force Bleu Ciel
P. G. - Oui majesté. Sans vous vouloir vous porter offense, je ne pense pas qu'Eric Mouloungui, qui est certe un joueur techniquement limité, mentalement fragile et socialement perdu ai fait faute sur sa majesté Grosso lors du dernier match entre une équipe journalistiquement condamnée à la ligue 2 et une équipe promise au titre de champion de france de football qui pratique ma foi un football ambitieux et techniquement abouti.
J.M.A - Votre statut ne vous permet en aucun cas de vulgariser un équipe tel que l'olympique lyonnais, le plus grand club de football français de cette dernière décennie. Vous venez de commettre une grande erreur en nous affirmant implicitement que l'Olympique lyonnais bénéficie de faveurs des arbitres. Vous menacez sérieusement l'intégrité et la neutralité du corps arbitral et vous n'avez de ce fait pas votre place dans notre force. Je décide donc à l'unanimité de radier Phillippe G. de la Task Force. Les principales conséquences sont que vous serez obligé de poser votre démission devant les journalistes et vous serez banni, vous et votre équipe à gambader sur les terrains de ligue 2 l'année prochaine.
P.G. - Mais ....
JMA - La séance est close.
Cette histoire n'est peut être pas une fiction...